L’homme ne meurt pas, il se tue. Cette phrase de Sénèque est tout à fait appropriée si l’on considère qu’à notre époque, plus de cinquante pour cent des lits de nos hôpitaux sont occupés par des personnes souffrant de diverses maladie ayant une origine émotive. Les nombreux troubles nerveux dont est affecté l’ensemble de notre population, les ulcères, les troubles digestifs et de constipation chroniques, la plus part des maladies coronariennes, l’hypertension, les migraines, certaines formes d’arthrite, d’obésité ou de maigreur, et combien d’autres maux encore ne sont, bien souvent, que des maladies modernes dont il faut chercher la cause dans les multiples tensions devenues le lot quotidien d’une vie trépidante et souvent mal vécue.
Il importe de toujours se méfier de ses émotions et de cultiver l’art de les maîtriser et surtout, d’apprendre à en faire de fidèles servantes et non des maîtresses malfaisantes. Tout se déroule tellement rapidement de nos jours. L’homme moderne a inventé l’automobile, l’avion, les fusées qui lui permettes de visiter d’autres planètes, il a perfectionné l’art d’assassiner légalement, sous le couvert de la guerre, il a déclenché la pollution atmosphérique et mentale qui ne cesse de nous envahir, il a élaboré une nouvelle morale qui, bien souvent, ne tient aucunement compte de la conscience humaine, il a trouvé le moyen de remettre en question toutes les anciennes valeurs du passé. Il y a à peine 30 ans, un adolescent devait travailler dur pour défrayer le coût de son éducation et de sa formation, aujourd’hui l’adolescent boude ses parents et les accuse même de cruauté mentale s’ils ne peuvent lui fournir l’argent nécessaire pour s’acheter des cigarettes ou un joint.
En plus de se faire imposer une nouvelle morale d’occasion, il faut se dépêtrer dans la confusion religieuse actuelle ou tout est systématiquement remis en question, y compris même l’existence de Dieu.
Qu’on veuille l’admettre ou non, l’individu de notre époque, est, mentalement et physiquement, dans l’impossibilité de pouvoir absorber toutes les tensions apportées par une société moderne.
Afin de pouvoir refréner la somme de tensions accumulées, l’individu se doit d’agir sur deux plans, apprendre à faire des choix afin de ne s’occuper que des choses qui méritent une attention réelle, et apprendre à s’adapter au mode de vie actuel. Il est évident, surtout lorsqu’on examine la situation actuelle, que les gens éprouvent de sérieuses difficultés à agir sur ces deux plans. Ceci est évident si l’on regarde, beaucoup de nos semblables sont de plus en plus tendus, perturbés mentalement et physiquement et aussi de plus en plus indécis et découragés. La plus part du temps, ce que l’on croit être bon pour soi s’avère, tôt ou tard, la source de nouvelles tensions et de difficultés supplémentaires. Ce qui démontre qu’il n’est pas toujours facile de faire des choix et de s’ajuster à tout ce qui nous entoure.
Dans le passé, qui n’est quand même pas tellement éloigné de nous, il était aisé pour nos grands-parents de se départir de leur surplus de tension. La vie se déroulait de façon beaucoup moins rapide et les durs travaux ne manquaient pas pour se défouler. Aujourd’hui, nous en sommes arrivés à ce point que, pour rétablir ou conserver l’équilibre de la santé, il nous faut nous adonner à l’exercice par le jeu. Les maladies dont on mourait vers 1860 étaient la tuberculose, la pneumonie et beaucoup plus rarement, de crise cardiaque ou de cancer. Aujourd’hui on ne meurt plus de ces maladies mais bien de maladies chroniques de dégénérescence, et certaines formes de cancer se rencontrent de plus en plus fréquemment et entraînent la mort dans bien des cas.
Il est certain que dans la vie, un certain degré de tension ou de stress s’avère utile, nécessaire même. Il n’est pas déraisonnable d’affirmer que le manque de tension c’est la mort et que l’excès de tension, c’est l’incapacité d’agir. Les hommes d’affaires qui ne savent pas surmonter leurs soucis ou dominer leur tension, meurent jeunes et cela est vrai pour les ménagères, les étudiants, les médecins, les ingénieurs, les éboueurs, et même les chômeurs.
Croyant résoudre leurs divers malaises avec des petites pilules miracles, les pharmacies font des affaires d’or. Quelle société merveilleuse! L’accession à toutes ces commodités modernes, l’exemption de tous les travaux exigeant de l’énergie musculaire, même sur le champ de nos distractions, voilà que cette même société nous fournit les moyens miraculeux de nous départir, comme par enchantement de toutes les tensions accumulées à force de ne plus agir.
Il faut agir comme le boiteux qui apprend à ajuster son rythme de marche à son infirmité, ou comme l’aveugle qui apprend à ajuster son handicap au monde dit normal qui l’entoure. Les humains on appris à s’adapter et à faire des affaires entre eux pourtant ils sont de langues et dialectes différents. S’il est possible, dans quelque domaine que ce soit, de s’accommoder d’une situation, il est tout aussi possible de s’accommoder du rythme de vie actuel. Il est possible pour chacun de nous, de modifier sa façon de penser en y apportant les correctifs qui s’imposent et qui permettront de s’ajuster au rythme de la vie moderne.
Ce livre « passport pour une vie meilleur » par Louis-N Fortin, je vais vous en faire un résumé de chaque chapitre pour nous aider à bien vivre notre vie.
À bientôt
Il importe de toujours se méfier de ses émotions et de cultiver l’art de les maîtriser et surtout, d’apprendre à en faire de fidèles servantes et non des maîtresses malfaisantes. Tout se déroule tellement rapidement de nos jours. L’homme moderne a inventé l’automobile, l’avion, les fusées qui lui permettes de visiter d’autres planètes, il a perfectionné l’art d’assassiner légalement, sous le couvert de la guerre, il a déclenché la pollution atmosphérique et mentale qui ne cesse de nous envahir, il a élaboré une nouvelle morale qui, bien souvent, ne tient aucunement compte de la conscience humaine, il a trouvé le moyen de remettre en question toutes les anciennes valeurs du passé. Il y a à peine 30 ans, un adolescent devait travailler dur pour défrayer le coût de son éducation et de sa formation, aujourd’hui l’adolescent boude ses parents et les accuse même de cruauté mentale s’ils ne peuvent lui fournir l’argent nécessaire pour s’acheter des cigarettes ou un joint.
En plus de se faire imposer une nouvelle morale d’occasion, il faut se dépêtrer dans la confusion religieuse actuelle ou tout est systématiquement remis en question, y compris même l’existence de Dieu.
Qu’on veuille l’admettre ou non, l’individu de notre époque, est, mentalement et physiquement, dans l’impossibilité de pouvoir absorber toutes les tensions apportées par une société moderne.
Afin de pouvoir refréner la somme de tensions accumulées, l’individu se doit d’agir sur deux plans, apprendre à faire des choix afin de ne s’occuper que des choses qui méritent une attention réelle, et apprendre à s’adapter au mode de vie actuel. Il est évident, surtout lorsqu’on examine la situation actuelle, que les gens éprouvent de sérieuses difficultés à agir sur ces deux plans. Ceci est évident si l’on regarde, beaucoup de nos semblables sont de plus en plus tendus, perturbés mentalement et physiquement et aussi de plus en plus indécis et découragés. La plus part du temps, ce que l’on croit être bon pour soi s’avère, tôt ou tard, la source de nouvelles tensions et de difficultés supplémentaires. Ce qui démontre qu’il n’est pas toujours facile de faire des choix et de s’ajuster à tout ce qui nous entoure.
Dans le passé, qui n’est quand même pas tellement éloigné de nous, il était aisé pour nos grands-parents de se départir de leur surplus de tension. La vie se déroulait de façon beaucoup moins rapide et les durs travaux ne manquaient pas pour se défouler. Aujourd’hui, nous en sommes arrivés à ce point que, pour rétablir ou conserver l’équilibre de la santé, il nous faut nous adonner à l’exercice par le jeu. Les maladies dont on mourait vers 1860 étaient la tuberculose, la pneumonie et beaucoup plus rarement, de crise cardiaque ou de cancer. Aujourd’hui on ne meurt plus de ces maladies mais bien de maladies chroniques de dégénérescence, et certaines formes de cancer se rencontrent de plus en plus fréquemment et entraînent la mort dans bien des cas.
Il est certain que dans la vie, un certain degré de tension ou de stress s’avère utile, nécessaire même. Il n’est pas déraisonnable d’affirmer que le manque de tension c’est la mort et que l’excès de tension, c’est l’incapacité d’agir. Les hommes d’affaires qui ne savent pas surmonter leurs soucis ou dominer leur tension, meurent jeunes et cela est vrai pour les ménagères, les étudiants, les médecins, les ingénieurs, les éboueurs, et même les chômeurs.
Croyant résoudre leurs divers malaises avec des petites pilules miracles, les pharmacies font des affaires d’or. Quelle société merveilleuse! L’accession à toutes ces commodités modernes, l’exemption de tous les travaux exigeant de l’énergie musculaire, même sur le champ de nos distractions, voilà que cette même société nous fournit les moyens miraculeux de nous départir, comme par enchantement de toutes les tensions accumulées à force de ne plus agir.
Il faut agir comme le boiteux qui apprend à ajuster son rythme de marche à son infirmité, ou comme l’aveugle qui apprend à ajuster son handicap au monde dit normal qui l’entoure. Les humains on appris à s’adapter et à faire des affaires entre eux pourtant ils sont de langues et dialectes différents. S’il est possible, dans quelque domaine que ce soit, de s’accommoder d’une situation, il est tout aussi possible de s’accommoder du rythme de vie actuel. Il est possible pour chacun de nous, de modifier sa façon de penser en y apportant les correctifs qui s’imposent et qui permettront de s’ajuster au rythme de la vie moderne.
Ce livre « passport pour une vie meilleur » par Louis-N Fortin, je vais vous en faire un résumé de chaque chapitre pour nous aider à bien vivre notre vie.
À bientôt